Passage en force de la FED

Le temps compté de la FED devrait l’inciter à minimiser les mauvaises nouvelles récentes en provenance de l’économie américaine. 

Avec une croissance de 0,7 % seulement au premier trimestre de cette année soutenue par les seules dépenses de structures (majoritairement de la construction), une croissance dans les services en déclin quasi-ininterrompu depuis deux ans et un tassement des créations d’emploi à 98 000 en mars, la FED aurait, en théorie, tout le loisir d’infléchir son discours sur la nécessité de relever le niveau de ses taux directeurs et, au-delà, sur celle de commencer à réduire son bilan.

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